comme chaque matin nous ouvrirons le site niddanslaverdure, si nous découvrons un article, çà sera une joie pour nous, merci pour les informations du présent et surtout de l’histoire du village, Jacqueline peut-être fière de son époux. Jean-Pierre
Michel
Cher Robert, soyez en convaincu, nous vous lirons toujours avec le même engouement quelque soit la fréquence de parution de vos articles.
Toute la famille vous embrasse.
Michel
Annie
Bonjour Robert, Les jours sans article, je redécouvrirai avec plaisir les anciens. Les autres seront plus riches et plus ensoleillés encore. Tu sais cette petite pause ou je m’échappe virtuellement du bureau en semaine et ai l’impression de rentrer déjeuner à la maison. Encore Merci à toi. Bises. Annie
Une bonne chose que tu aies décidé de continuer. Ton blog est si riche qu’il aurait été dommage que tu le laisses.
Je t’embrasse.
niddanslaverdure
C’est effectivement ce qui m’a été dit et puis comme j’aime bien fouiller dans les archives, c’est dans ma nature, je dois continuer. Jacqueline n’aurait pas voulu que je baisse les bras.
comme chaque matin nous ouvrirons le site niddanslaverdure, si nous découvrons un article, çà sera une joie pour nous, merci pour les informations du présent et surtout de l’histoire du village,
Jacqueline peut-être fière de son époux. Jean-Pierre
Cher Robert, soyez en convaincu, nous vous lirons toujours avec le même engouement quelque soit la fréquence de parution de vos articles.
Toute la famille vous embrasse.
Michel
Bonjour Robert, Les jours sans article, je redécouvrirai avec plaisir les anciens. Les autres seront plus riches et plus ensoleillés encore. Tu sais
cette petite pause ou je m’échappe virtuellement du bureau en semaine et ai l’impression de rentrer déjeuner à la maison. Encore Merci à toi. Bises.
Annie
Une bonne chose que tu aies décidé de continuer. Ton blog est si riche qu’il aurait été dommage que tu le laisses.
Je t’embrasse.
C’est effectivement ce qui m’a été dit et puis comme j’aime bien fouiller dans les archives, c’est dans ma nature, je dois continuer. Jacqueline n’aurait pas voulu que je baisse les bras.
Bises à vous d’eux et merci de m’encourager.