Plus tard, à l’époque de mademoiselle Guillaume (1923-24), les quelques mots d’excuses qui figurent aux archives, évoquent les mêmes raisons pour justifier l’absence des élèves.
C’est dans cette période qu’apparaissent des bulletins imprimés que les parents n’ont plus qu’à remplir.
Si, après une absence, l’élève ne l’a pas en sa possession, l’instituteur (trice) adresse aux parents un formulaire que ceux-ci sont priés de compléter.
Dans les années 50, ce sont des bulletins ronéotés, que les parents complètent.