Hier matin, sur les sommets de “La Fortelle” (les petits monts), au détour d’un chemin, je tombe sur une biche, et m’immobilise aussitôt. Ayant l’appareil à la main, je le monte lentement à la hauteur des yeux. Un premier cliché, puis un deuxième,… l’animal reste au milieu du chemin. Il semble même intrigué par cette chose immobile en face d’elle. La biche fait un pas dans ma direction, puis prudemment s’approche encore, s’arrête, regarde, et s’avance toujours, mais pas trop près tout de même, je ne dois vraiment pas ressembler à un arbre. J’ai le temps de faire une douzaine de photos, puis sans doute lassée, d’un bond elle s’élance dans les fourrés, ne laissant d’elle qu’une furtive tache brunâtre.
Ce sont de très jolies photos. Entre les sangliers et les biches, tu en as de la chance!!!
Petit commentaire sur le blog : serait-il possible d’agrémenter le blog de quelques dictons?
Aujourd’hui : 1er saint de Glace!!
Surtout la chance de pouvoir les photographier. Ce n’est pas toujours le cas. J’en avais vu une peu de temps avant, mais celle là ne m’a pas attendu.
Les dictons ? Pourquoi pas. J’avais justement lu avant-hier, de vieux dictons picards et je m’étais dit que je pourrai les publier. Et puis reflexion faite, j’ai pensé que cela n’intéresserait
pas beaucoup les lecteurs. C’est un essai à faire en posant la question de savoir si cela vaut la peine.
Cela fait partie des moments magiques de la vie.
C’est exact, car comme je l’écris à un autre lecteur, dix minutes avant j’en avais vu une qui ne m’avait pas attendu.