Dans le numéro XXIV des “Annales archéologiques” de 1864, Louis Sauvageot, publie une étude sur le prix que pourrait coûter la construction de l’église abbatiale, si elle devait être construite à cette époque. C’est assez curieux de lire cette étude. Toutefois ce qui nous rassure c’est de lire qu’à ce moment, Louis Sauvageot donnait à […]
Coût de l’église abbatiale Lire la suite »
29 juillet 1745 décès de B. Hervé Philippe VIRIER, chanoine régulier 14 mai 1747 décès de Jean SAVARY 8 novembre 1759 décès du R. P. Antoine PARIER 24 janvier1761 décès de Jean Michel PATIN 22 janvier 1762 décès de Jean Baptiste PAULIN 3 avril 1762 décès de François DARCHIN Ouvrons une parenthèse pour préciser que François Darchin, originaire de Morienval, était au
Défunts enterrés dans l’église (3) Lire la suite »
Quelques années plus tard, en 1850, Louis Graves (secrétaire général de la préfecture de l’Oise aussi historien) signale que dans le croisillon sud on voyait la pierre tombale de Diane de Clausse, 33e abbesse, avec cette épitaphe : Louis Sauvageot (architecte ayant mené des études sur l’église) écrit : « Le croisillon nord de l’église était tout
Défunts enterrés dans l’église (2) Lire la suite »
Peu d’indices permettent de dresser la liste des abbesses, religieux et autres personnages enterrés dans l’église. Tâche rendue d’autant plus difficile que, lors de la restauration de l’église dans la deuxième moitié de XIXe siècle, toutes traces des dalles tumulaires disparurent, détruites pour faire place à un nouveau carrelage. Ces dalles étaient
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Suite de l’article du 6 mai Si nous nous transportons au côté sud de l’église, nous observons qu’il faut franchir une marche et demie pour y pénétrer, le sol de l’ancien cloître étant nettement en contre-bas de la rue du Couvent, qui elle, nous en trouvons trace, est constituée de remblais. Alors peut-on penser
Problème de marches Lire la suite »
Le dernier paragraphe d’une lettre en date du 20 novembre 1865 adressée au maire de Saint-Jean, monsieur Bombart, par l’architecte Max Mimey, chargé des travaux de restauration de l’église, attire l’attention et laisse dubitatif, car, nulle part dans les archives, ne se trouvent d’écrits attestant de la présence de marches devant l’entrée nord de
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Suite de l’acte de vente à des particuliers. C’est à l’occasion de ce démembrement que la commune acquiert le 15 avril 1848, pour le prix principal de 4921 francs 78c, une parcelle suffisamment grande, lui permettant de transplanter le cimetière et de dégager le « Pourtour de l’église » jusqu’alors enclavé dans l’ancien couvent. C’est sous ce
Vente de l’ancien couvent (suite) Lire la suite »
L’acte de vente à des particuliers, entraînant le démembrement de l’ancien couvent, est intéressant à consulter, dans la mesure où nous trouvons les noms de tous les acquéreurs, dont certains nous sont restés familiers à travers leurs héritiers, qui encore dans les années soixante, occupaient ces parcelles. Les choses, depuis, ont bien changées. à
Vente de l’ancien couvent (suite) Lire la suite »
La vente a lieu en l’étude de Maître Grandmange, notaire à Compiègne. Cugnières quittera vraisemblablement Saint-Jean à la suite de cette vente. En effet s’il figure encore sur le recensement de 1846, il n’apparaît plus sur celui de 1851. La transaction s’effectue sur la base de : La vente du presbytère, tel qu’il fut
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Cugnières est le brioleur sur lequel nous avons déjà écrit un article (voir « Les Brioleurs » 1er septembre 2011). Rappelons que ce personnage utilisa la salle capitulaire pour y loger ses mulets, contribuant ainsi largement à sa dégradation. Une gravure d’époque nous rappelle cet épisode. C’est encore lui qui poursuivit la démolition des anciens bâtiments
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